Adapté de « La zone du dehors », le monologue « Le dehors de toute chose » est une ode à la liberté, une invitation à se découvrir comme « autre que soi ». Conscient de la prétention de sa démarche – distillée par amour ? – un homme se dresse parmi les décombres de notre démocratie. Ce dehors, dont il ne sait au juste si l’idée même a un sens, est pour lui une poche de liberté intérieure à chacun de nous. Un champ de vastes possibles obstrué par des siècles de conditionnement. Éclairant avec douceur les barrière qui le séparent de sa véritable existence d’homme libre, il tente sous nos yeux, dans une quête aussi intime qu’infinie, « d’inventer ce que vivre peut être ».
Le dehors est à nous, au dehors toute !